samedi 16 juin 2012

Interview imaginaire : Dalida

Interview imaginaire : DalidaNous retrouvons Dalida chantant et dansant au milieu des anges subjugués par son charisme et sa voix.







Bonjour Dalida. Comment s'écoule votre vie maintenant que vous êtes au paradis ?

Moi, je vis d'amour et de danse
Je vis comme si j'étais en vacances
Je vis comme si j'étais éternelle
Comme si les nouvelles étaient sans problèmes
Moi, je vis d'amour et de rire
Je vis comme si y avait rien à dire
J'ai tout le temps d'écrire mes mémoires
D'écrire mon histoire à l'encre bleue
Laissez-moi danser laissez-moi
Laissez-moi danser chanter en liberté tout l'été
Laissez-moi danser laissez-moi
Aller jusqu'au bout du rêve

Comment faites-vous pour si bien communiquer avec les anges ? Ils sont en admiration devant vous...

Tous les mots que l'on se lance les p'tits mots de tous les jours
On les croit sans importance mais ce sont des mots d'amour
Les bye bye, arrivederci, les bonsoirs, etc
Les saluts, les comment ça va sont déjà des mots d'amour
Les farewells on se reverra, les mercis qu'on dit comme ça
A des gens qu'on croise et qu'on ne connaît pas

Regrettez-vous votre vie en France ?

Si la France se mariait avec elle-même
Si un jour elle se disait enfin je t'aime
Elle inventerait la ronde qui épouserait le monde
Si la France s'embrassait un jour qui sait
Pour la rose et le lilas en harmonie
La main gauche et la main droite enfin unies
Le bleuet près du muguet ce bouquet est jeune et gai
Qui marie toutes les couleurs en quelques fleurs

Quel est le pays que vous avez préféré lors de votre trop court séjour sur Terre ?

Mon Italie
Elle joue les stars américaines
Moi je vous dis
Que sa musique est Sicilienne
Mon Italie
Elle est un peu cartomancienne
Mais fantaisie
Et tragédienne et comédie

Et, à part l'Italie et la France, dans quel pays auriez-vous aimé vivre ?

Americana, Americana
C'est l'Amérique, qui fait rêver
Americana, Americana,
Joue ta musique fais-moi danser
Manhattan, centième étage
Accroché son cœur dans les nuages
Quand San Francisco s'affole
Au rythme des amours qui s'envolent
On se saoule de musique
Sur des mots souvent mélancoliques
Las Vegas et ses machines
Et ses filles sorties des magazines

Quel est votre plus grand regret depuis que vous nous avez quittés ?

J'aurais voulu danser
J'aurais voulu tourner
Jusqu'à la fin des jours
Toute étourdie de joie
Au rythme de l'amour
Toute la nuit, toute la vie peut-être

Comment expliquez-vous votre succès aussi bien auprès des femmes que des hommes ?

Je suis toutes les femmes
Je vis vos joies et vos mélodrames
Je suis sentimentale
Et parfois femme fatale aussi
Que l'on me condamne
Si mon cœur s'enflamme
Devant les projecteurs
Qui me visent en plein cœur chaque nuit

Nous vous regrettons, Dalida, mais nous allons devoir vous quitter car notre temps d'interview a été limité par Saint Pierre...

Bye bye ce n'est pas un adieu
Bye bye mais c'était merveilleux
C'était comme un beau soir de Noël
Mais lorsque s'éteignent les chandelles
Ciao ciao même si l'on ne veut
Ciao ciao jamais se dire adieu
Il faut savoir avant de partir
Se le dire dans un sourire

Nous partons le cœur gros tandis que Dalida reprend ses chansons et ses danses au milieu du chœur des anges.

Auteur : Marc Duclos




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