
Le premier webzine en 3D
Vous aimez l’Aventure avec un grand A ? les histoires d’Amour toujours avec un grand A, mais pas tout à fait comme les autres ? les énigmes et les chasses au trésor ? Avec La Momie de Pâques, soyez prêts à vivre, vous aussi, LA grande aventure romanesque du printemps 2016 ! Rencontre avec Luisa Gallerini.
En avant-première du Festival d'Avignon, découvrez « La Reine de beauté de Leenane », la comédie noire qui a rendu célèbre Martin McDonagh. Dérangeante tant par la crudité de son réalisme que par la cruauté de ses dialogues, cette satire sociale et familiale prend racine dans les profondeurs insondables de l’Irlande rurale...
A l’occasion de son spectacle Je change de file, un « One Woman Show » hilarant qui se joue en ce moment-même à la Comédie des boulevards (dépêchez-vous, c’est jusqu’à fin décembre !), nous retrouvons Sarah Doraghi dans un bistro parisien. Interview exclusive !
Le street art est-il en passe de devenir le mode d'expression privilégié des artistes de demain ? Sans relâche, Fred le Chevalier dessine, découpe, imprime et colle ses personnages de papier là où souvent, les circonstances le mènent. Portrait d'un mystérieux Chevalier.
Jusqu'au 16 mars 2014, l'exposition Goya et la modernité, à la Pinacothèque de Paris, dévoile l'âme sombre et tourmentée du célèbre artiste espagnol, entre eaux-fortes cauchemardesques et peintures flamboyantes.
Rejeton hyperactif du rap, du hip-hop et de la chanson française (à texte, s'entend), l'auteur-compositeur-interprète-illustrateur (accessoirement jongleur de rimes) Syrano revient cet été (déjà, oui oui) avec un nouvel album sobrement intitulé ...je touche.
Après Sixteen Times (2009), un premier album coup de cœur aux harmonies vocales ensorcelantes, empreintes de vieux blues écorchés et de comptines folk douces-amères, June & Lula reviennent dans les bacs (et sur scène) avec un nouvel opus, Yellow Leaves. Interview exclusive !
En dignes représentants d'une nation en plein essor, Kadebostan et Amina nous révèlent leurs projets les plus fous : étendre les frontières de leur patrie adorée pour conquérir le monde à coup de trombones et de roulements de tambours. Une utopie, vous croyez ? Nous, nous n'en sommes pas si sûrs...
Par un après-midi ensoleillé, c'est dans un bar lounge de la rue de Charonne que nous avons le privilège de rencontrer Alex Hepburn, le nouveau phénomène anglo-saxon au blues rocailleux, au timbre irrésistible, au sourire désarmant et... bien plus encore !
Stéphanie Hochet (Desparate Housewives) : « Puisque je ne suis pas une ménagère, et donc encore moins une ménagère désespérée, comment ai-je pu me laisser captiver par cette série dont les héroïnes sont de simples mères au foyer d’une banlieue américaine ? ». Vous aurez la réponse en lisant ma notice dans le Dictionnaire des séries télévisées (Nils Ahl, Benjamin Fau, aux éditions Philippe Rey, octobre 2011)….
Dans une banlieue chic d’une ville américaine : la vie pas trop sage de celles qu’on avait cru reléguées aux tâches domestiques.
Drôle (parfois irrésistible), légèrement inquiétante, finement dérangeante.
Le scénario qui fait intervenir une narratrice d’outre-tombe (les morts sont parmi nous), le découpage de chaque épisode qui évoque les poupées russes (c’est particulièrement le cas de Desperate Housewives où chaque épisode se conclut par une épanadiplose, la fin renoue avec le début, à l’image de ce monde clos bien représenté par la banlieue où la vie est concentrée sur un territoire restreint et d’où l’intrigue ne peut s’échapper), le rythme, l’humour. Et bien que parfois agaçantes ou même odieuses ces ménagères sont extrêmement attachantes.
Oui, c’est une des plus addictives.
Ce qui est très particulier avec Desperate Housewives c’est qu’on peut avoir des a priori, penser que des histoires de femmes au foyer, ça ne parle pas à grand monde. Mais en réalité, aucune série (à ma connaissance) ne parle autant du féminin. Les femmes sont puissantes quand elles s’allient entre elles. Desperate Housewives, c’est un peu le règne du matriarcat, la société des bonobos réalisée par les humains : un groupe de femmes fait régner l’ordre dans son quartier…Comme je le dis dans la notice, ce quartier de Wisteria Lane qui signifie L’allée des glycines me frappe par son voisinage phonique avec Hysteria. On connait l’étymologie d’hystérie… Mark Cherry, le réalisateur, semble s’amuser à démonter le préjugé misogyne.
La scène où Edie Britt (Nicollette Sheridan) jette les cendres d’une vieille amie au visage de son ennemie Susan Mayer (Teri Hatcher). La scène est à voir, à raconter ce n’est pas pareil.
J’ai oublié quoi.
Aucun. Mais je peux reconnaître telle ou telle amie parfois : Untelle à quelque chose d’une Lynette (Felicity Huffman), etc.Si vous pouviez changer quelque chose à l'intrigue (au scénario), que feriez-vous ?
Surtout ne toucher à rien, et puis je respecte trop le droit d’auteur.Dans cette série, quelque chose vous a-t-il...
Non.Fait peur ?
L’histoire du prisonnier enchaîné dans le sous-sol d’une maison récemment vendue.Troublée ?
Les allusions à la pédophilie.
La sexualité de Bree Van de Kamp (Marcia Cross).Bree Van de Kamp et Orson Hodge, en images :
La capacité des femmes à avoir plusieurs vies, comme les chats.Si vous deviez rapprocher cette série d'un livre ou d'un auteur, ce serait ?
Madame Bovary, version comique.Si vous deviez rapprocher cette série d'un film ou d'une autre série, ce serait ?
Weeds, car la aussi une femme lutte contre l’enfermement de la vie de banlieue.Si vous deviez rapprocher cette série d'une peinture ou d'une sculpture, ce serait ?
Les Trois Grâces (copie romaine d'une œuvre grecque, Ier siècle apr. J.-C., Musée archéologique national, Naples).
Mon espace conso | |
Le Dictionnaire des séries télévisées Dictionnaire des séries télévisées, Nils Ahl, Benjamin Fau, aux éditions Philippe Rey, octobre 2011. |
|
Desperate Housewives, la dernière saison en DVD Desperate Housewives, saison 7, avec Teri Hatcher, Felicity Huffman, Marcia Cross, sortie le 7 décembre 2011 - Coffret 6 DVD. Voir tous les produits (DVD, livres, etc.) autour de la série Desparate Housewives |
|
Le dernier roman de Stéphanie Hochet La Distribution des lumières, Stéphanie Hochet, Flammarion, août 2010. Voir tous les livres de Stéphanie Hochet |